Относительное позиционирование путём смещения объекта от начального положения контейнера.
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<p>Devenue l'arbitre des modes, elle présidoit aux fêtes brillantes et presque continuelles qui se donnoient à une époque de désastres ses grâces se développoient dans des danses où la place la plus marquante lui étoit toujours réservée; et, mêlant, comme ses jeunes compagnes, le goût de l'intrigue à des occupations frivoles, elle s'eflbrçoit déjà d'acquérir de l'influence dans les affaires.</p>
<p>Ce fut alors qu'elle parut accueillir les hommages du duc Henri de Guise, un peu plus âgé qu'elle, et qui, considéré comme le chef du parti <span>catholique</span>, <em>ne</em><span> voyoit </span>dans une intrigue qui pouvoit le conduire à obtenir la main d'une sœur de Charles ix, que le moyen le plus assuré de venger bientôt la mort de son père, assassiné six ans auparavant, au moment où il alloit accabler le parti calviniste. Cette liaison, qui exigeoit beaucoup de précautions et de mystère, sembloit devoir absorber entièrement une jeune personne mais elle n'empêcha pas Marguerite de servir en même temps avec beaucoup d'ardeur les intérêts de son frère le duc d'Anjou, auquel Catherine, après la mort du connétable de Montmorency, avoit confié les fonctions de lieutenant général. Elle entretint une correspondance très-active avec ce prince pendant la campagne où il remporta sur les protestans les victoires de Jarnac et de Montcontour, et elle fit en sorte que sa longue absence ne diminuât pas son crédit.</p>
<p>La paix s'étant faite l'année suivante [1670], toutes les apparences portoient à croire que les troubles étoient pour jamais étouffés. Il y eut des rapprochemens auxquels on n'auroit osé s'attendre; et peu de temps après, il fut question de cimenter l'union des catholiques eto des protestans par le mariage de Marguerite avec le prince de Navarre, reconnu chef de ces derniers. </p>
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